LE SOUFFLE DU DRAGON
VINCENT THIERRY
Après plus d’un siècle de présence Française dans ce que l’on appellera la Perle de l’Empire, l’Indochine, à la fin de la Seconde Guerre mondiale et dans les années qui suivent, la France et ses armées sont confrontées à l’assaut du communisme, contre lequel le combat s’impose afin que la Liberté ne reste un vain mot, mais non seulement, contre les alliés indirects de cette idéologie, les anticolonialistes primaires, prétendus amis, qui n’auront de cesse de faire en sorte que la France parte de cette terre où vivaient en symbiose l’Orient et l’Occident, afin de la remplacer. À l’appel de cette défense vinrent de nombreux engagés volontaires qui firent resplendir les armes de la France, dans un combat inégal, floué par la corruption, les idéologies, la traîtrise, ce que conte le Souffle du dragon, en mémoire de tous ces combattants que l’Histoire n’oublie pas, au contraire de la virtualité qui les ignore.
© 2025 PATINET THIERRI ÉRIC
Éditeur : © Patinet Thierri 2025
ISBN 978-2-87782-792-8
ISBN 978-2-87782-790-4
ISBN 978-2-87782-791-1
1 Texte 309 pages
Extrait
LE SOUFFLE DU DRAGON
Éditeur : © Patinet Thierri 2025
ISBN 978-2-87782-792-8
ISBN 978-2-87782-790-4
ISBN 978-2-87782-791-1
La flamme couve
James était de ces jeunes loups, venus des maquis, très tôt après l’arrière-pays envahi par les brunes partitions, et leurs remorques de vicieux, de bafoués, d’étonnants personnages singuliers se lavant dans le sang de leur Peuple, tout un amas de socialistes bon teint n’ayant jamais porté les armes que contre leurs frères et leurs sœurs, pour se couronner dans la fange les maintenant debout pour quelque temps, cette ère de la guerre immonde dont ils étaient fiers.
La Charente était désormais, sous leur joug, un rassemblement de vipères les unes les autres broyant du nationaliste comme et surtout du Catholique, appelé terroriste par cette engeance cosmopolite se rassasiant de la douleur d’autrui, servant avec délectation leurs maîtres appropriés aux uniformes noirs arborant la tête de mort les embrasant dans des orgies de fusillés, de décapités, d’étripés, seules façons qu’ils avaient trouvées pour paraître.
Violence, tout était de cet acabit, et dans les rues des villes, des hameaux et des campagnes, où se livrait une autre guerre, purement celle des autochtones, se dénonçant à qui mieux mieux pour dépouiller des champs, pour voler les biens, pour asseoir leur impuissance par une jouissance partagée par leurs dominateurs et geôliers près desquels ils étaient des larves prêtes à tout pour les contenter, trouvant parfois la récompense de leur dû.
Charivari infect de loques aux bassesses éprouvées, leur sort vient alors sans coup férir, qui liquidé dans les fossés, qui pendu au crochet de boucher, sans le moindre état d’âme, tels des gorets dont ils étaient les étrons se lavant dans les larmes de leurs congénères, comme certaines troupes dites de libération, menues de gangsters en tout genre, résistants de pacotille, brûlant les pieds des aînés pour leur piller leur or, à tout le moins ce qu’ils possédaient encore.
Mais que d’années écoulées entre ces massacres de lâches et de pourris, des années terribles où se déchaînait la vermine rose, socialiste, envers les résistants, décimés par les vendus, dénoncés par les basses œuvres de cette lie de l’humanité cosmopolite, envoyés dans des camps que l’on savait déjà de la mort, ou bien tout simplement rendant leur dernier soupir sous les coups de leurs bourreaux, tant allemands que dits français, confrères en sadisme.
Et dans ces derniers temps que d’effroi sous les coups de boutoir des Ukrainiens et de tous ces peuples abâtardis par le nazisme, Oradour sur Glane, et tant d’autres, y compris sur le champ de Mars d’Angoulême où fut creusée une fosse pour recevoir sa population qui devait être anéantie par la fameuse division SS Das Reich, avant qu’elle ne soit appelée plus au nord pour être enfin terrassée et éradiquée, laissant le champ libre à une pègre de la dernière heure.
Bandits de grands chemins, voleurs, violeurs, pédérastes et pédophiles impénitents, tenant entre leurs mains au nom de leur nouvel étiquetage, FFI, les rênes des villes et des villages pour y faire régner leur ordre de barbare, dans une effusion de sang innommable, avec pour seule raison, celle de s’emparer des biens, fusillant à tout va, internant et violentant, y compris les enfants, dans une anarchie qui prendra fin lorsque l’armée régulière prendra la place de ces renégats.
Que de sang versé inutilement, ne concernant ni les traîtres et les oisifs mais bien les travailleurs, les nationalistes, les royalistes, les croyants, tout ce qui fut d’une droite sereine et traditionnelle, ne méprisant ni la Patrie, ni son Peuple, mais tentant d’harmoniser les rapports humains afin que chacun s’immerge dans la réalité Française, et non dans la virtualité pouilleuse de la mendicité cosmopolite, se plaignant indéfiniment de son sort pour recueillir quelques subsides.
Accompagnant ici les Américains venus des plages Normandes, n’ayant pour ambition que d’être tuteurs de la France, ne venant donc pas la libérer mais bien la soumettre, ce qui ne fut grâce au courage irrévocable d’un grand général qui sut allier la grandeur et l’honneur, tandis que la Russie débarrassait le monde du nazisme en prenant Berlin, après le sacrifice de vingt-sept millions de ses enfants, une Russie seule victorieuse sur cette idéologie socialiste répugnante.
« L’idéologie est le suaire de la pensée, et amène la barbarie. », disait Manosque, le chef du réseau. « Voyez comme s’acharnent les moutons devenus des bêtes féroces, pendant la guerre, et jusqu’à ces jours de libération de la pourriture boche, celle qui a inscrit par ses actes ce que tout un chacun doit rejeter sans état d’âme, les pires étant leurs alliés s’en donnant à cœur joie envers leur propre Peuple, ici, là, dans toutes ces Nations résonnant de la botte putride. »
« On doit notre libération à la Russie, notre alliée naturelle, ne l’oublions jamais, et non à cette soldatesque, courageuse certes, mais en aucun cas recherchant notre émancipation, pour preuve leur aménité envers l’ennemi, cherchant en lui les supports de son emprise sur les Nations, vous verrez qu’ils vont les recruter pour faire barrage au communisme, encore une idéologie venue du socialisme répugnant, né de la fange cosmopolite. »
« Car il ne faut pas être grand clerc pour comprendre que se sont partagés ce monde les vecteurs de ce qui devient une farce pour les uns et pour les autres, et plus particulièrement ici dans notre pays, où on a vu déchargées des caisses de billets estampillés par les USA, pour remplacer notre monnaie, jusque dans nos Mairies qui fort heureusement, grâce à nos Préfets n’ont pas cédé à ce chantage grotesque, diligenté par la soupe populaire de Wall Street et de la City. »
« Gageons que nous allons entrer dans une nouvelle guerre d’intérêts liés à l’usure et ses protocoles, à cette fumisterie qui enveloppe de ses tentacules les Nations dans ses toiles d’araignées où ne gîtent que le déshonneur et la corruption les plus totalitaires qui soient, et elle sera longue et stérile, et elle sera inouïe et d’une cruauté que l’on ne peut imaginer, il vous faut vous préparer à cette réalité, mes enfants, nos alliés occidentaux se découvriront là nos rivaux. »
« N’en doutez, il faudra les surveiller de près, car sous leur sourire enjôleur, leurs dons et leurs piécettes, se cache la bête la plus ignoble qui soit, hypocrite, pleine d’une morgue révulsant, contre laquelle il faudra faire face, sans jamais ne se retourner, alliée au plus haut niveau à ce communisme qu’elle a financé intarissablement comme elle l’a fait avec le nazisme, afin de contrôler ce petit monde et faire disparaître jusqu’au nom des Nations. »
« Voyez donc ce qu’il en est, déjà ils exhortent à l’occupation de la Palestine par leur argutie agissante, et se plient ici tous les valets de leurs équipages, ayant laissé périr les pauvres de cette strate sans le moindre geste, suivant en cela le plan régulateur de la barbarie officiante cherchant un levier pour faire pleurer dans les chaumières et sans obstacle parvenir à ses fins tribales, ici la mise en coupe réglée du Moyen Orient et de ses ressources naturelles, avant celle de ce monde. »
« Regardez ce vivier qui s’agite, tenant la presse, hurlant dans des salles combles pour faire valoir ses martyrs, alors que nous restons humbles face à l’adversité, le sang de nos morts, ici sur notre terre, là sur des terres étrangères, dans ces camps de la mort où ils furent la majorité des esclaves sous le joug de la bestialité nécrosée et de ses arques boutant aux USA comme en Angleterre, toujours intimes de leurs frères Anglos saxons qui sont la plaie de ce monde. »
« Nous en paierons les conséquences en nous laissant porter par leur propagande à dormir debout, et pour taire les voix autorisées qu’ils muselleront en s’employant à insinuer tous les postes en gouvernance comme ils l’ont mis en pratique avant guerre, armant l’Espagne dite républicaine aux mains du bolchevisme cosmopolite, n’ayant strictement rien de l’Espagne, demain armant les opposants de la France avec la même vélocité dans une traîtrise atavique forcenée. »
« Qui conduira notre France à l’agonie de ses terroirs comme de ses territoires, d’ailleurs entendez ces nouvelles de l’Indochine, des massacres à n’en plus finir pour instaurer le prisme idéologique qui est le fer de lance de cette strate, jouant sur tous les tableaux, capitalisme, socialisme, communisme, bolchevisme, pour parvenir à ses fins, qui ne doivent être les nôtres et que nous devons combattre partout, afin de nous libérer de leur gangrène et de ses suppurations buboniques. »
Jean rappelle sur ce sujet ce qu’il a vu, pendant la guerre, sous l’uniforme boche un colonel, qui dès la libération a revêtu l’uniforme américain avec un grade semblable, salué par les troupes, n’y avait-il pas là l’expression de cette solidarité entre le nazisme et la prétention des USA a vouloir considérer, comme les Allemands, la France et les autres Nations Européennes, comme vassales, sous le joug Anglo saxon, lui-même sous le joug de l’usure ?
Bien sûr, de bonnes langues ont revêtu le personnage de la qualité d’espion, un titre qui a perduré tout le long de l’occupation, sans se faire repérer ? Soyons sérieux, une porte ouverte entre ce qui se prétend allié et l’enfant né de sa barbarie intrinsèque, le nazisme, et bien entendu ses féaux, déjà recrutés comme on en parlait, et non seulement dans les corps des scientifiques et des ingénieurs, mais bien dans leurs corps d’armées.
James lui-même a reconnu cette duplicité lors de l’arrestation de certains monstres, sitôt emmenés par les troupes GI, et quelques semaines plus tard en pleine liberté sous la houlette de ceux qui se prétendaient de nouveaux conquérants, attelés à la tâche d’unir tous les tenants et aboutissants de l’idéologie nationale socialiste pour créer une « alliance » entre les Nations afin de lutter contre le communisme sévissant en Russie, importé par les USA afin de mettre la main sur ses ressources.
Les flux financiers témoignaient de cette aide magistrale qui, sans elle, n’aurait pu mettre à la pointe ce national-socialisme, bâti de toutes pièces pour réduire l’intelligence européenne à portion congrue et la mettre sous le boisseau d’une minorité désormais hurlant en chœur pour se faire plaindre de maux qu’elle avait engendrés de mille façons jusqu’à permettre l’holocauste de ses frères et sœurs pauvres gagés comme inutiles et substituables.
Personne n’était dupe, pas plus qu’elle n’était dupe de l’aide précieuse de la finance apatride dans la naissance de ce communisme que prétendaient combattre les mêmes, dès les années 1900, voyant le Canada comme les USA entraîner des hordes bolcheviques exogènes s’apprêtant à fondre sur la Russie Impériale, toujours sous la houlette de cette faction d’irascibles dont l’hystérie n’était pas encore parvenue à son paroxysme, mais cela ne saurait tarder au fil du temps.
James comprenait cette fausse dualité, menée dans les coulisses, n’ayant pour but que de mettre à bas toute souveraineté, où qu’elle soit, afin de rendre vierge les terres visées suivant leur capacité exploitable, de toute vie naturelle afin d’y voir immigrer cette prétention pour s’emparer de leurs ressources et en faire les maîtres comme ils le prétendaient désormais sur les sols des Nations Européennes, les unes en les culpabilisant, les autres en les désintégrant.
Ce lavage de cerveau, méthode apprise dans les buanderies de la gestapo comme de la Tcheka, désormais de ce que l’on appelait l’OSS, les services spéciaux US, cette manipulation de l’opinion enfantée par l’Institut Tavistock spécialisée dans la gestion des masses humaines, battait ces jours sa plénitude par l’intermédiaire de la presse aux ordres et des vendus, comme des corrompus, ainsi par ceux tenus par leurs vices et leurs affaires.
Simple raison de la déraison qui trône, toute guerre larvaire ayant pour but la destruction du challenger à l’intérieur même de son territoire, en mettant en exergue ses faiblesses permettant d’exercer un chantage sans fin associant ce qui dut être une force aux attributs d’une nouvelle volition, accentuant par cette empreinte à taire toutes velléités de sursaut, et bien plus de grandeur comme d’honneur au sein du Peuple considéré par l’intermédiaire de ses représentants visés.
Des représentations catapultées vers les sommets par une publicité agressive, afin que tout un chacun s’imagine voir là le sommet de la capacité, dès lors que ce n’en est que la médiocrité absolue, dans un décor de bavards affublés de république comme de démocratie ne vantant en fait que leur fonds de commerce et celui de leur dépendance, telle une drogue, les devisant dans l’ordonnance d’une traîtrise pulvérulente, envers d’un décor à leur ressemblance, fangeuse et douteuse.
5 - I La flamme couve
37 - II Sous la cendre
69 - III Armoriée de citadelles
101- IV Mémoires du Vivant
133 - V Par les hauteurs engendrées
165 - VI L’enlisement fatal
197 - VII Aux bruissements ailés
229 - VIII D’un abîme gréé
261 - IX Par le souffle du dragon
293 – Carte
301 - Œuvres de Vincent Thierry
France, Royan, Sainte Croix,
Le 20/01/2025