FORUM V

FORUM V






 

Et voici que l’Esprit se tient au-dessus des Eaux, magistral, conflue la genèse de l’ordonnance, au-delà des vacuités et des téméraires éblouissements, enivre de son sceau le sacre de l’Impériale devise de la renaissance en chaque élément de la puissance…


INITIATIVE METAPOLITIQUE
 


L’anarchie outrancière





Nous connaissons actuellement une anarchie dominante, anarchie des pouvoirs, anarchie des mœurs, anarchie des économies, vestales de vaches sacrées aux côtes saillants la médiocrité de ses aréopages de dilettantes qui court-circuitent la raison pour imposer la phénoménologie de leur ignorance. Cette face en reptation de la poussière dont les circonvolutions n’ont d’autres buts que d’abaisser l’Etre Humain, le détruire en ses racines, s’auto protège dans l’incantation, la stupidité et le larvaire, une débauche de lois sans fondements sinon ceux de sa peur primale de voir ses pouvoirs de nains tomber entre d’autres mains plus expertes qui pourraient réduire à néant l’outrage qu’elle porte à la condition Humaine, cette Humanité ignorée, cette Humanité bafouée, cette Humanité humiliée qui n’a d’autre sursis dans la fourberie et la malversation issues de la forfaiture la plus exemplaire, que de se taire pour ne pas tomber entre les mains criminelles de la pensée unique qui glorifie toute viduité estompée qu’on nous présente comme modélisation de l’Humain. Un Etre vide, avide, non humain, ignorant, lâche et servile, un non-être putride qui n’a d’autres sujets de gloire que l’acclamation, la débauche pavlovienne de la domesticité, de l’atrophie qui règne sans partage sur sa liquéfaction. Nous sommes au sommet de cette désintégration qui ne peut que s’autodétruire, la Nature, non celle dont parle cette écologie de la stupidité, reprenant toujours ses droits pour faire retourner à l’équilibre la Vie afin qu’elle s’élève et ne se conditionne dans le factice, la bêtise, l’avilissement, la servitude, le pourrissement. Ce sommet trouve ici sa glorieuse condescendance dans ce camouflet historique relatif à cette europe de prébendiers qui continuent à s’imaginer détenteurs de pouvoirs qu’ils n’ont plus, les Peuples de l’Europe, altiers et fiers de leur Histoire, de leurs structures, de leur grandeur, se voyant infliger la doctrine du vide, ce vide dans lequel nous devrions aux hospices de la pérennité de cette litanie de l’insuffisance, de cette candeur de la médiocrité, nous enliser les uns les autres afin de mieux parfaire l’avanie qui rythme sa débauche, sa suffisance, sa paresse intellectuelle, sa destruction permanente des valeurs Humaines au profit d’une gangrène insidieuse dont la pandémie ressemble comme deux gouttes d’eau au sida physique. Les Peuples ont répondu par un dédain magistral, à cette déficience mentale, au-delà de tout ce que pouvaient imaginer les carcans de la stérilité qui voudraient les enserrer dans l’étau de l’impuissance qu’ils représentent, une impuissance si létale, que ce jour un G2 va se composer réunissant États-Unis Chine, dans lequel ne viendront pas larvaires les trépassés de l’avenir qui se veulent guider l’avenir de nos Peuples, et qui se félicitent de victoires inutiles, telle celle de ce parti qui ne mobilise que 12 % des voix de son peuple et qui s’imagine sous les hospices de son mentor en loge la puissance accomplie et le pouvoir révélé. L’Histoire avec un H majuscule marque ici son pas, sur la tragédie de l’anarchie qui nous enlise, cette anarchie qui s’auto défend en détruisant la Liberté d’expression, en détruisant la Liberté physique, en détruisant la Liberté Humaine en imaginant encore et encore dans un accès de démence devant son incapacité à régner en laquelle elle se trouve, vouloir purifier par une vaccination obligatoire les Etres Humains au nom d’une pandémie inexistante ! Voilà où nous en sommes dans cette destitution de la Voie, cette falsification du réel au profit du virtuel, et nous devrions continuer à subir plus encore pour nourrir les complexes des laboratoires médicaux avec lesquels nos gouvernants vont faire saillis, à l’image de cette guerre qui se profile à l’horizon envers l’Iran, voyant ces votifs carnassiers s’entourer des félicités d’un complexe militaro industriel sans précédent, comme ce fut le cas avec l’Irak, où dans le sceau du secret s’auto flagellent les précurseurs de l’entrée en guerre de l’Angleterre dans un bourbier sans avenir sinon celui de la désintégration. Et bien, tout simplement non, aucun Etre Humain sensé, n’accepte désormais cette mise en litanie des aberrations singulières des uns et des autres, les coups de mentons agressifs des plénipotentiaires de l’éradication Humaine, des politiques dévoyées tendant à la destruction des acquis sociaux, au chantage déterminé des délocalisations, à l’abstraction couronnée de politiques vassales et coordonnées n’ayant d’autres buts que l’asservissement à cette anarchie barbare qui se veut pouvoir régalien dans sa suffisance de l’éternité Humaine. Le communisme a duré soixante-seize ans, cette barbarie est en train de disparaître comme elle est née, dans la déchéance de l’atrophie qui la compose. L’Etre Humain n’est ni une larve, ni un chien de Pavlov, ni un parasite au sens de cette écologie putride qui n’a que vœu de culpabilisation afin de mieux asservir les esprits, l’Etre Humain porte en lui l’indélébile marque de la Liberté, cette Liberté de réfléchir et critiquer, cette Liberté d’agir qu’aucun correspondant de cette litanie de la moisissure ne pourra faire disparaître, et ce ne seront ces lois ridicules sur les cagoules, preuve s’il en fallait de la faiblesse outrancière des pouvoirs, ces lois sur la servilité et la domesticité, sur le viol organisé des identités par afflux d’exogènes aux fins d’accentuer leur disparition, qui y changeront quelque chose. Le glas vient de sonner pour cette société en trompe l’œil, cette société calamiteuse où ne règnent que les ardeurs de la stupidité accouplée à la bestialité la plus hautaine, les Peuples ont tranché dans le vif, ils n’en veulent pas, ils n’en veulent plus et je pense que l’Histoire à venir nous réserve des surprises encore plus grandes que celle-là. L’anarchie tourne dans le vide désormais, elle peut se gargariser, outrager, confisquer, détruire, elle scie la branche sur laquelle elle est assise et c’est très bien. Cet épiphénomène cédera sa place à d’autres formes de pouvoirs, jusqu’à la conquête magistrale du Pouvoir, en tous lieux, en toutes faces, dans toutes organisations, par une Élite de la Capacité qui n’aura d’autres buts que l’élévation de l’Humain, ce à quoi aspirent tous les Peuples, et non à sa réduction dans ce terreau de l’acculturation et de la dissonance en lequel on nous voudrait de simples larves inféodées et acclamant leur servage ! Face à l’europe l’Europe en ses Nations et ses Identités s’éveille.



Initiative Politique

Pragmatisme


 
  



À l’origine du délitement politique, on trouve en présence des partis totalement létaux que ce soient de l’extrême gauche à l’extrême droite, des partis qui se gargarisent de leur importance, alors que sur l’échiquier du vivant, ils ne sont que groupuscules, ne réunissant sur leurs noms que des forces anachroniques qui vivent de leur archaïsme. Cet état de fait permet à l’opportunisme de rayonner sur les cendres de la Démocratie, et de voir se glisser les partis du mensonge légiféré s’octroyer une autorité sans réalité, car basée sur ce que je nomme une catalyse tribale, prolégomènes à l’implantation d’une dictature de fait si les Peuples ne se réveillent pas du sommeil profond dans lesquels ils sont maintenus par un parasitisme de bon aloi. Quelle légitimité ont donc aujourd’hui ces représentations nées du néant et qui retourneront au néant ? Aucune, il faudra bien que les citoyens s’en rendent compte avant qu’il ne soit trop tard et que tombe, comme dans les plus belles heures du communisme, une chape de plomb sur les Pays d’Europe, un rideau de fer mental où se développera la pensée unique apatride et putride qui réduira à néant, pendant un certain temps, le potentiel du Vivant. Laboratoire du mondialisme, cette "europe" deviendra politiquement maintenue sous le joug du mensonge et de l’aberration mentale, carcan de fer où chacun se devra d’être en reptation devant les détenteurs du pouvoir monétaire, le seul pouvoir réel de nos sociétés totalement vassales de banques mondiales dont nos gouvernements sont aux ordres grâce à ce racket organisé qui veut que la dette soit créatrice de monnaie, et qui voit ce jour les Etats totalement soumis à leur bon vouloir. Lorsque se réveilleront les Nations, car elles se réveilleront, malgré le joug politico militaro policier qui est le bras armé de la fiction dirigeante, (le communisme a été balayé en soixante-seize ans, le nazi communisme dirigeant le sera en moins de cinquante ans), la première action qu’elles devront mettre en œuvre et ce solidairement, c’est de rayer les dettes existantes, reprendre le Droit naturel de battre monnaie, une monnaie neuve qui portera un autre nom que ces hérésies dévouées aux institutions du racket permanent qui disparaîtront d’elles-mêmes, car désormais sans le moindre aliment, permettant ainsi de voir leur réalité, le néant et rien d’autre ! Le camp de concentration européen que l’on nous prépare, où la pensée n’existera plus, où seul comptera le matérialisme le plus dépravé sous la houlette d’une religion exogène qui deviendra recteur de conscience de cette boue en laquelle on s’enfonce actuellement, en addiction d’une écologie politique dont les prêtres de thanatos poursuivront leur devoir de culpabilisation par l’instauration d’une terreur permanente, (ce qui est bien naturel lorsque l’on regarde ses prétendants, issus de mouvances extrémistes support des brigades rouges, d’action directe, de la bande à Bader, sinistres marionnettes des états) ce camp de concentration implosera naturellement, et sera démantelé totalement par les Peuples recouvrant leur Liberté. Les fossoyeurs du néant, commissaires politiques de cette tentative de génocide des Identités et des Nations seront jugés sur leurs actes par la justice des Peuples, débarrassée de ses miasmes inféodés. Retourneront dans leurs foyers ces Nérons et Caligulas, car il ne sera question de faire des martyrs de ces boulimiques de la destruction qui seront bien au contraire délaissés à leur sort d'atrophié, exemples vivants de l’atonie, de la déviance, de l’irrespect, du rejet de l’Humain, du non-humain, de la non-humanité n’ayant pour désir que l’auto destruction de l’humain par l’avortement, l’euthanasie, l’eugénisme, tueurs nés qui disparaîtront naturellement pour laisser à la Vie recouvrer ses Droits dans un espace de Liberté souveraine ! Le temps est flexible, le temps n’a aucune importance, et ce ne seront ces épiphénomènes de la barbarie institutionnalisée qui atteindront le devenir de la Vie, car la Vie sait se préserver des déséquilibres, et dans le cœur même de l’Humain garde le sceau secret de son avenir, la rémanence innée dans laquelle est gravé son devenir. Cette rémanence permettra, comme elle l’a toujours fait, de faire retourner au néant, le néant qui brille aujourd’hui de tous ses feux. Patiente et construction donc, en dehors des sentiers du pavlovisme, initiant l’esclavagisme le plus purulent que l’Humanité n’ait eu à connaître, du complexe de Stockholm, voyant les esclaves en redemander, de la propagande politique continue mariée aux mensonges historiques les plus grossiers qui font acclamer les esclaves serviles, — mensonges d’états tels ceux concernant actuellement la pandémie grippale, le "trou" de la sécurité sociale et des caisses de retraite, — patiente, continuez à construire en toutes faces de ce puzzle, débarrassez-le de ce sida intellectuel permanent qui reflète si bien notre petit monde livré à la barbarie, chacune de vos actions légales comme de vos contemplations permettra lentement mais sûrement d’anéantir le virtuel et restituer au réel son avenir. Voie démultipliée, du silence, de l’action politique, de l’action économique, de l’action spirituelle, chaque facette en coordination permettra cette ascension. Il ne vous appartient que de choisir celle avec laquelle vous êtes en symbiose pour agir à bon escient. Ce n’est que dans cet engagement que vous trouverez les moyens de destituer l’emprise du virtuel, tel le judoka épousant la forme et se servant de la force de son adversaire pour le désarçonner. Pragmatisme donc, pragmatisme opérationnel comme fonctionnel, doit devenir le moteur de votre action. Le nombre comme le temps ne comptent pas, le temps comme l’espace de même, il n’y a ici lieu de réunion, d’attroupement servile, de meeting sans issue, il n’y a lieu ici que de résonance, la résonance Humaine qui par sa vibration globale permettra d’atteindre le but de la Vie, son émancipation, dans le cadre de la réalité fécondée par la Liberté.



Initiative Scientifique

 
Gravitation.


 



La conception de l’espace comme du temps que nous concevons par rapport à des observations, finalement bien limitées, se révèle ce jour totalement dépassée lorsque nous observons, tels que le font actuellement les chercheurs tant dans les domaines de l’infiniment petit que dans les domaines de l’infiniment grand. Chacun bute ici sur un concept que l’on nomme la gravitation qui réduit à néant toutes théories qui se disent viables, et fort heureusement la recherche se poursuit et ne s’arrête à des théories figées qui ne peuvent induire que strates défaillantes par rapport à cette inconnue majeure qui dirige souterrainement l’autorité et la conduite des Univers dans lesquels nous ne sommes que partie microcosmique. Le temps comme l’espace ne sont pas uniformes, comme aime à le rêver un certain nombre d’entre nous, à l’image même de l’Énergie comme de la matière, ils se génèrent et se meuvent sans discontinuer sous les hospices de cette gravitation dont les théories dépendantes veulent ignorer la réalité. Cette réalité est totalement fermée à celui qui dans un esprit purement conceptuel et cartésien s’efforce de vouloir être maître à bord d’un système où tout est quantifié, ordonné, finalement plat, comme bien d’autres ont imaginé une terre absolument plate. Si on veut bien un instant correspondre géométriquement, il devient admissible qu’existât autant de temps comme d’espaces que peut se représenter chacun des Etres vivants à la surface de ce que l’on pourrait appeler des navires de la Vie que sont les planètes et autres corps célestes. D’ores et déjà nous savons pertinemment que le temps d’autrui n’est pas le nôtre, sinon que par résonance d’un apprentissage figé qui ne fait avancer personne mais bien au contraire le réduit à reculer jusqu’à ne plus exister. L’espace lui-même présente cette particularité en sa dominante physique comme en ses contractions et dilations phénoménologiques. Nous nous trouvons si nous acceptons ce postulat non plus dans une dimension, représentation de l’espace-temps, mais une infinie complexité de dimensions dont les interactions restituent au réel une fiabilité qui n’a plus rien de ténébreuse. Le lien coordonné de cette interaction, devient ici lieu d’action, et que ce soit dans l’infiniment petit comme dans l’infiniment grand son ouverture, la gravitation. Il n’y plus ici de courbure, de théorisations abruptes, mais une fonction sur laquelle devraient se pencher avec plus de volition les chercheurs, retrouvant dans ce cadre tridimensionnel la quadripartition de la réalité universelle, où la Vie se génère et se régénère, non pas comme objet mais comme nécessité. Conceptualisation ouverte et non fermée, les degrés de la recherche ne peuvent que nous permettre de penser qu’ils déboucheront inéluctablement sur une maîtrise de la dite gravitation qui permettra l’expansion sans limite de la Vie par ces temps comme ces espaces multipliés qui ne sont finalement que les facettes d’un cristal, l’Univers, Univers parmi les Univers.


 


Initiative Philosophique


Constat


 
  



Les masques tombent, les uns les autres en frivolité du dessein de ce mondialisme qui parade, sans considération des identités, sans considération des Peuples, sans considération de leurs légitimités. Le façonnage est reptation, coordonnée de la devise crypto communiste du "passé faisons table rase…". Il n’y a ici que permanence de l’outrance née de l’ignorance, sacerdoce de ces prêtres et prêtresses de la pensée unique, fondée sur le mensonge, qui surgit en chaque jour, chaque heure, chaque minute, pour avilir l’Histoire avec un H majuscule, l’Histoire des Peuples, l’Histoire des Nations, jusqu’en leurs fondements bio géographiques, dans une litanie sans atermoiements visant à déliter l’aspect créatif de la nature humaine, qui loin d’élever, abaisse l’humain, et pire encore culpabilise l’Etre Humain, tel dans ce cycle particulièrement mensonger qu’est celui de l’écologie politique, fourberie monstrueuse n’ayant pour objet que l’implantation d’éco taxes, fourberie criminelle au regard du devenir de l’Humanité qui n’est pas de se fondre dans les limbes d’une Gaïa mystique qu’ils trahissent sans vergogne pour s’engraisser sur le dos des vivants, mais de transcender son devenir dans l’espace par une conquête éternelle ! En ce lieu du vivant, on atrophie la Vie, créant des civilisations mortuaires acclamant la mort, avortement, euthanasie sans limite, eugénisme édicté comme Loi, où la Loi elle-même se cache tant elle est outrageante pour la Vie ! Il n’y a pas de mystère à cette virtualité forcenée qui guide ce que certains voudraient faire accroire destinée : une réduction de l’intelligence critique amenant l’Humain progressivement à l’échelle du singe, donc de la bestialité, une nucléarisation dantesque des appartenances naturelles amenant à un déracinement individuel comme collectif, une réécriture de l’Histoire advenant la culpabilisation des enfants dont l’altruisme berné devient tremplin d’une servitude assurée, une mise en place boulimique d’une acculturation hybride assignant l’intelligence au point de l’inintelligence pour modélisation, toutes formes agencées dans le cadre de pseudos élites qui n’ont d’autres fonctions que la destruction, et nous y sommes, et ce qui reste des Peuples en redemande, chiens de Pavlov devenus, (regardez la manipulation organisée par ce film de propagande digne de la propagande national socialiste ou communiste) aboyant lorsqu’on leur demande d’aboyer ! Larves épiscopales de ce charnier culturel sur lequel s’agitent les prédateurs de la médiocrité ! Comment sortir de cette dérision menant à l’abattoir les floralies Humaines ? À ce camp de concentration légiféré ? À cet esclavage purulent où le non-humain comme la non-humanité deviennent règle ? Comment sortir de cette virtualité dominante issue tout droit des limbes des ténèbres les plus affligeantes, celles de la servitude accouplée à l’ignorance et au mensonge ? Je ne le dirais jamais assez, le premier travail relève du redressement de l’Etre Humain qui aujourd’hui en reptation acclame sa servitude. Il doit retrouver les chemins de la Liberté par une émancipation du mensonge et de ses alliées l’ignorance et la médiocrité, par une reconnaissance de lui-même qui lui permettra de reconnaître les autres ! Reconnaissance de sa réalité fondamentale qui n’est pas celle de la stérilité mais de la Vie, de ses origines naturelles, biologiques et historiques, de ses racines qu’il se doit de préserver au même titre que sa réalité individuée afin que ces racines ne soient voilées puis détruites par tous les faucheurs de ce monde, ces tueurs nés de la réalité Humaine qui n’est cette bouillie excrémentielle qu’ils voudraient voir naître dans ce monde afin de l’asservir sans limite au nom de leur atrophie qui ce jour parade sans dissonances, le matérialisme le plus putride qui soit ! La renaissance de l’Etre Humain permettra la renaissance de l’Humain, le délitement de la moisissure comme de la pourriture qui envahissent sa réalité biologique sa réalité intellectuelle et culturelle, sa réalité Historique. Cette Renaissance ne pourra se faire que par la connaissance de la réalité et non de la virtualité, ainsi une action culturelle en chaque Nation, devient-elle nécessaire afin de préserver chaque Race, chaque Peuple, chaque Ethnie qui ce jour subissent le plus grand génocide qui ait jamais été commis, au nom de l’illusion, maîtresse de la perfidie et de l’atrophie, cet aveuglement pernicieux qui n’a qu’un but la réduction en esclavage de l’Humanité. Cela suppose de se battre intellectuellement sur tous les fronts (le combat physique n’a aucun intérêt, car mobile de martyrologies qui baignent l’Humain dans le cadre d’une culpabilisation induite qui freine toute avance naturelle), accentuer le contre-pouvoir naturel du vivant qui permettra de remettre en cause et destituer toutes lois prétendant astreindre la Liberté individuelle et Publique, toutes lois de mort tendant à sanctifier tant l’euthanasie que l’avortement forcées, toutes lois favorisant l’exogène sur l’endogène, toutes lois en prévarication instituant en leurs coordonnées la culpabilisation de l’Humain, toutes lois favorisant l’acculturation, toutes lois initiant la disparition des souverainetés, toutes lois inorganiques tendant à remettre le pouvoir de la Nation, famille Humaine par excellence, à des organisations virtuelles, viviers de la dictature par excellence. Le combat peut se mener en tous lieux en toutes associations, en toutes sociétés, qu’elles soient discrètes où non, dans tous les "partis" politiques, et bien entendu sur Internet au niveau mondial, (- la censure opérée dans ces pays viviers de la dictature, doit être contournée en initiant des relais généraux dans les Pays où la Liberté de penser est inscrite en lettres magistrales dans leur Constitution). Le renouveau Humain ne pourra naître que par ce combat culturel, intellectuel, ce n’est qu’à ce prix que l’insulte faite au genre Humain pourra disparaître, que les humanicides ne paraderont plus comme ils le font actuellement. Ce combat doit être mené dans chaque Nation, la Nation étant le pilier des Civilisations, comme la Famille est le pilier de chaque Nation, il y va de la survie de notre espèce Humaine dans l’espace de Liberté qui lui est nécessaire pour s’épanouir et se transcender. Et dans ce jour de putridité intellectuelle, il serait temps de mener une première action, celle de l’activité Humaine qui serait responsable de ce "réchauffement de la planète", en réunissant les Climatologues de notre Planète, scientifiques dont l’ONU a rayé purement et simplement les propos aux fins de laisser s’instaurer cette marche délirante vers l’écologie politique (à ne pas confondre avec l’écologie scientifique dont la facette principale ressort de la mise en œuvre du développement durable, dont personne ne peut nier la source de progrès) qui n’a d’autres buts que de pressurer les citoyens du monde par la mise en œuvre d’éco taxes qui elles-mêmes permettront de renflouer les caisses vides des Nations. La vérité doit éclater sur cette outrance, et elle éclatera, ce qui permettra déjà de rendre à l’Humain son autorité naturelle qui n’est pas celle de se voir reléguer en dehors du Vivant, car le vivant lui-même !

 
 


Initiative Littéraire


Ô Christ Roi


 
 



C’était à Carcassonne, l’an 793, lorsqu’avant de livrer bataille Guillaume de Toulouse, Paladin de Charlemagne, éleva vers les cieux cette prière :

"Ô Christ Roi, l’Empire a-t-il donc tant failli qu’aujourd’hui l’illuminisme soit contempteur ! Que notre Terre sacrée soit à ce point humiliée, détournée, avilie par l’infertilité et ses devises ? Fille aînée de ta force fut-elle, ce jour laissée à l’abandon dans la moisissure des mensonges et de leurs pitoyables errances ! Ô Christ Roi en ton armure resplendissante sous les feux du Soleil invincible, regarde vers quelle voie se tiennent tes fidèles, dans l’agonie de leur sort, dans l’invective, dans les tréfonds d’une lâcheté dévoyée, dans le crachat et dans l’injure, dans la prosternation idolâtre, dans ces préambules menant les mondes vers leur finalité ! Ô Christ Roi, tes armées te resteront toujours et pour toujours dans la promesse de cette réalité qui fonde les univers et éblouit ! Et Chevaliers resterons-nous malgré la perfidie, l’ignominie, la décrépitude de tes Temples, Chevaliers de ton rayonnement et de ta félicité ! Du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest toujours veilleurs de l’ardeur des Chants et des Hymnes, pour consacrer ta plénitude et ton essor, enfanter les rêves en harmonie et en armoiries qui rendront à ce Monde sa florale beauté, loin des illuminations de l’ombre et de ses ténèbres enfantées par l’atrophie ! Ô Christ Roi, nous viendrons tes champs de blés mûrs, ces épis de la splendeur prononcer la grandeur et l’honneur par-delà les hospices des velléités qui frappent aux portes des mendiants et des fourbes, par-delà les assauts des prébendiers et des voleurs qui condamnent l’Humanité à son pur déclin ! Ô Christ Roi, la flamme de ta renaissance est toujours et pour toujours bien vivante par-delà le fléau qui nous habite, nous contraint et cherche à nous dominer, debout sommes-nous par milliers et par milliers sur notre Terre d’Occident, en chaque hameau, en chaque ville, en chaque Pays pour défendre nos racines et nos Temples, notre fidélité inconditionnelle à ta réalité, noyée sous la constellation des dupes et la supercherie des alchimistes sans renom ! Ô Christ Roi, déjà les Peuples se défont des miasmes qui les entachent, les voulant livrée de l’esclavage le plus purulent et le plus répugnant qui soit, celui de l’inconditionné ! Ô Christ Roi, car Etre tu fus, et Etres nous sommes, par millions et par millions dans l’Esprit du Sacre, notre demeure, par l’Esprit du temps comme l’Esprit de l’Espace que rien ne peut édulcorer, au regard du Chant qui gravite nos Histoires conquérantes et sublimes ! Ô Christ Roi, reviendront dans ta lumière et ton Eternité, tous ces aveugles et tous ces borgnes qui n’ont pour lendemain que le bruit infâme des chaînes qui les emprisonnent, car nous serons toujours là, Veilleurs pour briser le verrou qui les maintient dans l’ignorance ! Ô Christ Roi, rien ne pourra tarir ton Nom, rien ne pourra détruire ta Lumière, car quelque soit le lieu, quel que soit le temps, toujours reverdiront les pousses qui viendront baigner de leur foi les terres embrasées, jusqu’aux lieux même de leur destruction pour affermir la reconstruction de ton Temple, le Temple de l’Etre Humain, au-delà du temple du non-humain dont les agitations ne sont que scories en évanescence devant la Lumière Éternelle ! Ô Christ Roi, dans la dignité et dans l’honneur, dans le respect et dans le courage, Chevaliers te resterons-nous pour défendre ton Nom, nos Terres et nos Peuples, et se joindront par milliers et par milliers, puis par millions et par millions les Etres en éveil qui dépasseront les cultes et les adorations, les prismatiques déshérences des ténèbres, pour se dresser contre le parjure, la forfaiture, la destruction et leurs serfs ! Ô Christ Roi, Esprit du Chant et Chant de l’Esprit, Gardiens resterons-nous afin de restituer aux dimensions leur pur éclat, laissant s’effondrer les royaumes sans racines, Veilleurs de l’armature de ton Temple construit qui fera rayonner ce Monde, le relevant de son agonie qui par la Voie détournée saillie l’Univers comme une maladie ! Ô Christ Roi, viendront ces temps de la Voie noble et souveraine que rien ne pourra plus destituer à son profit, notre Foi en sera témoin, car ton règne est en nous et chacun d’entre nous est ton règne ! "
C’était en 793 qui vit la victoire mémorable du Paladin de Charlemagne sur les conquérants d’un autre monde…



Initiative poétique


Il nous disait


 



"Face à l’opiacée qui sert de tremplin à la gouvernance, face au diktat de la surdité, face à l’arrogance et au mépris des prétendants à ce jeu particulièrement pernicieux que l’on nomme la "politique", ce jour confusion des genres, entre l’économique, son support, et ce que devrait être la Politique, l’Art de diriger la Cité, face à l’archaïsme consistant dans l’accroire et ses mortelles errances, face à la désintégration de nos Identités comme de nos Cultures, enlisées dans une boue stérile correspondance de la non-humanité, face au mensonge légalisé tronquant toute réalité scientifique comme historique, au profit d’un désert d’acculturation monumental en lequel l’Humain n’a plus de résonance, n’a plus de vibration, n’a plus d’expression, sinon celle de la létalité autorisée par ce chef d’œuvre d’ignominie que l’on appelle la culpabilisation, face à la dérision des pouvoirs tous édiles et commensaux en reptation devant l’agrégation formidable de la barbarie sans nom de pseudos élites qui n’ont d’autres correspondances que la mise en esclavage de l’humanité pour leur seul profit bestial, face à la monstruosité servile à cette barbarie stérile, mettant en berne tous les acquis sociaux, toute Liberté, toute réalité, sous les ornières d’une éducation tronquée n’ayant d’autre légitimité que celle de la destruction de l’esprit critique individuel comme collectif, au profit de l’informe et de ses méandres ignobles tendant à la dénature de toutes formes vivantes, face à la calcination de l’intelligence par la propagation pratiquement mystique du sida intellectuel qui devient règle de gouvernance, modèle social lobotomisé, atomisé, resplendissant de la laideur, de la boulimie destructrice, voyant ses archanges de la terreur, humanistes de pacotilles, dont le droit d’ingérence est une atteinte phénoménale au droit des Peuples à disposer d’eux mêmes, surtout lorsqu’ils prônent l’exclusivité exogène tant en croyance qu’en appartenance, "écologistes" politiques payés par les multinationales des énergies primaires et les services discrets de pays n’ayant de vocation que de voir l’indépendance énergétique flouée pour bon plaisir des précités, archanges pitoyables dont les ailes brisées sont sous le joug et qui n’ont d’autre avenir que celui de scander les mots d’ordre de leurs maîtres en loges, euthanasie, avortement, eugénisme, face à ce samsa où la pourriture comme la moisissure deviennent maîtresses ornementales du devenir, face à cette décrépitude totalitaire et abstraire, nous pouvons considérer que nous sommes au sommet d’une courbe de Gauss, qui inéluctablement va s’effondrer, un effondrement remarquable, digne de la chute de l’empire Romain, car reposant sur un socle totalement lézardé, un socle dont la porosité est relent de la bestialité qui le compose, de la vanité la plus inouïe, celle de la médiocrité purulente qui dégouline en magmas suintant l’absurdité, le mensonge l’ignorance, toutes vacuités prédestinant à cette chute brutale que rien ni personne ne pourra retenir, son poids considérable ne pouvant être retenu par un quelconque pouvoir, la gangrène y trouvant nid ne pouvant qu’être décomposition, choc assourdissant qui engloutira ses apôtres, ses reptiles assoiffés, ses carnassiers stupides, ce zoo de l’imprécation, de la dénature, ces morts vivants, bubons stipendiées aux logorrhées convenues, tous en adoration de Thanatos, masse informe qui rejoindra dans l’indécence la putride allégeance, alors que les Peuples, comme des nouveaux nés, face à ce cataclysme engendré par l’atrophie mentale, lentement se réveilleront pour fonder l’Aventure de l’Humanité, rejoindre le courant vivant, et par delà ce gruau d’inconsistance, tigre de papier, s’élèveront vers leur destinée, dans le creuset de la Liberté renaissante, cette Liberté innée leur faisant recouvrer le sens de leur transcendance naturelle, instance majeure où leur défense sera assurée par des Guerriers de la Vie, où leur gouvernance sera assurée par une Élite de la Capacité, où leur épanouissement sera encouragé par un aréopage de Sages dont le chœur sera réalité, où enfin constituant et constitué l’Etre Humain trouvera mesure de son destin extraordinaire de Vivant !"



Initiative Artistique


Maryline Monroe





On ne parle plus de personne Humaine, on parle d’icône, non-sens au sens de l’identité qui se trouve ici broyée par le mercantilisme le plus dévorant. Date anniversaire du décès de Maryline Monroe, quarante-sept ans après sa disparition, au regard de sa Vie, nous pouvons mesurer l’ampleur de ce broyage dont elle fut la victime innocente. Maryline, née dans un milieu où le paupérisme côtoyait l’insondable délire du m’as-tu-vu officié par les arlequins de cette machine à détruire que représente l’exploitation cinématographique, Maryline issue d’un foyer brisé, sans repères essentiels, sans famille dirons-nous, ce pilier de nos sociétés, se retrouve face au désir de devenir une star, enhardie par la jalousie d’une mère qui n’a d’autres soucis que l’apparaître. Son chemin est tracé dans ce Hollywood marqué par l’étalage, la suprématie ethnique, la dénature frivole, où les êtres humains ne comptent que comme rapport financier, et si quelques actrices comme quelques acteurs sortent leurs épingles du jeu, c’est que leur notoriété ne peut être remise en question, le reste se couche, se love, se congratule dans un fumier d’après guerre qui ne laisse que peu de place à la beauté, au romantisme, au rêve. On est très loin du cinéma d’avant-guerre où un certain respect dominait, ici on parle de Chiffre et non d’art, et les roturiers de la prébende y ont fait leur nid, ramenant tout à leur devise, exploitant sans vergogne les espoirs, les transformant la plupart du temps en désespoir. C’est dans cet univers de cannibale assoiffé de puissance et d’orgie qu’apparaît cet Etre frêle, magnifique dans sa densité existentielle, qui va devenir le symbole du pouvoir de destruction de cette jungle répugnante qui se gargarise de sa prouesse à détruire ce qui n’est pas de leur caste, de leur prétention et de leur souci de domination. Maryline se laisse prendre au piège, et comment pourrait-il en être autrement, le bling bling, le paraître roi, s’étalant devant ses yeux, elle qui est souche de pauvreté a envie d’en bénéficier, mais à quel prix ? Elle vient du ruisseau, et n’a pas les moyens de s’élever de sa condition, et ne faisant pas parti du cercle des vénalités qui s’auto congratulent, ne peut demander à quiconque de l’aider, la voici donc mesure de ces premières photos comme de ces premiers films hissée vers le temple profanateur de la pornographie. Maryline, dans ce milieu de la dépravation convenue qui rapporte aux aigrefins de cette finance qui vit sur l’exploitation primitive, découvre un chemin terrible, celui de la suffisance, de la traite de ce qui n’appartient pas aux communautés, cette traite abominable des sentiments, cette traite ignoble de la chair, cette traite du vivant par l’écume de la plaie de l’asservissement et de son corollaire le profit. Le cycle infernal commence, ce cycle de la dépravation où personne ne l’écoute, personne ne l’entend, personne ne s’intéresse à sa vie sinon que pour profiter de sa plastique qui résiste, cette plastique formidable qui lui servira de paravent dans ce monde où la domesticité ne s’invente pas mais s’encourage. Premier rôle, première chance, première ovation, de Femme elle devient objet, un objet de perversité pour toute la décadence morale qui s’agite autour d’elle, cette décadence née de cette pauvreté d’esprit, de cette errance qui réjouissent la laideur et ses abjections. Maryline est sur le piédestal de cette suffisance, de cette morgue, et dans les apparences est comblée, mais là s’arrête cette infection : l’apparence, cette vision d’autrui qui n’arrive même pas à la consoler de ce trompe l’œil dans lequel elle végète, alors qu’elle cherche à devenir, à se construire. Personne ne lui laissera cette chance, elle doit obéir pour réussir à cette loi non écrite, non inscrite, des fauves qui régissent contrats et permissions de jouer des rôles, dans ces coucheries factices qui sont le régal de la purulence qui s’imagine dominer, alors qu’elle n’est qu’expression de la larve bestiale qui sommeille en sa déraison. Maryline suit le jeu, imperturbable, prenant sur elle d’accroire, dans la mi mesure qui la configure, non plus seulement comme objet, mais simplement laissé pour compte par la déraison et ses liens, les abjections qui pullulent de par ce monde naviguant ses liaisons fractales, devises enrubannées du toc, d’une préciosité en prévarication, de ces œuvres délétères qui unissent et la médiocrité et la bêtise. Ainsi alors que s’enseignent les nauséeuses aperceptions, ces croyances reptiliennes, ces parcours en détresse, là, ici, dans les confluents des pouvoirs qui se combattent, des empires monétaires qui battent des pavillons lointains, cherchant à dominer par une puissance d’apparat, non pour engendrer la beauté, mais pour la mystifier, ainsi dans cette rive sans honneur, dans cette diatribe du commerce qui s’autorise. Maryline est dans ce feu, et se brûle par ce feu. Que lui reste-t-il d’elle-même, brassée comme un météore, dévorée par cette face qui la témoigne, une image. Une image consternante de beauté au milieu de toute cette dérive d’égouts où se pressent les coordonnées de la débauche, ces fallacieux outrecuidants qui s’imaginent avoir un semblant de créativité alors qu’ils ne sont que les suppôts de la destruction de la création, noyant dans le sordide tout ce qu’ils touchent, tout ce qu’ils vivent, et dont chacun se devrait d’admirer l’autorité de nain vagissant. Ici le lieu, ici le temps et chacun se presse à son image, dans le sublime de mariages ignominieux qui n’ont d’autres demeures que de la voir prospérer dans la bassesse et ses orgies délétères, mesures de la décadence qui inspire le respect par les tenants et les aboutissants qui inscrivent leurs noms dans le déshonneur qui les mystifient en regard de l’absolue hiérarchie du pourrissement d’un Etre Humain pour lequel ils n’ont aucun respect, rien, sinon celui de la prendre et encore dans des conditions purulentes. La nuit tombe dans ce deuil d’elle-même, et les prévaricateurs contemplent leur œuvre soumise, une image, une image bestiale qu’ils droguent de toutes les mesures de leurs concerts pour qu’elle apparaisse encore et encore comme leur jouet, leur fétiche, leur carpette, la pourriture est à l’œuvre, une singerie démente qu’on laisse faire sans prendre conscience que derrière cette loque devenue existe un Etre qui ne demande qu’à sourire au jour, un Etre qui n’a pas demandé à servir de charnier à cette bestialité autorisée qui se complaît, un Etre lumineux qui se doit de se ternir dans l’ombre, de se lover dans la nuit afin de s’accoupler aux paradis artificiels qui sont les rameaux de la perversité qui s’enchante par toutes faces dans cette deuxième moitié de siècle où l’honneur n’existe plus pour les parvenus en tout genre qui initient leur fatuité sur des contes pour enfants, ces besogneux de la destruction qui hurlent après elle, scandent pour leurs besoins la luxure dont ils veulent qu’elle fasse état, dramatique perversité voyant un metteur en scène la vouloir pute et la traiter de pute sans aucune considération de sa dignité, de son éloquence, toujours remise en question, car enfin qu’a t’elle besoin de parler ? Génération de la honte que cette méprise qui grouille comme un amas de vers dans ce territoire hier dédié à la beauté du cinéma, génération sacrilège qui détruit pour le plaisir de détruire, génération hideuse portant en ses ramures sa propre destruction, car l’Humain en face de cette mare fétide se rend bien compte qu’il y a là la marque d’un sacrilège envers l’Humain ! Victime expiatoire de cette ellipse de l’intelligence ? Maryline le fut à tout point de vue, ballottée en tous sens par la crétinisation de l’esprit, sans pouvoir se dérober sinon que dans cette appartenance à elle-même que personne ne peut entacher, sa beauté merveilleuse consacrée par la photographie. Confinée, sans paroles, muette par la désignation de l’autarcie régnante, elle fulgure ce rêve de l’Etre Humain en chacun de ses sourires, témoignant par-delà la pourriture qui l’environne de cette rédemption extraordinaire que chaque Etre peut dans l’épreuve naître en lui-même. Et se retournant sur elle même, inscrit dans son geste fatidique, qu’il fut aidé ou non, la gloire de son nom au-delà de la mesure et des menstrues des abîmes glauques qui ne cherchaient qu’à en user, en abuser, viol collectif des moires aisances qui n’ont d’autres desseins que de détruire la beauté pour hisser au pavois de leur sécurité la laideur et ses atours ! Que l’on ne s’y trompe, Maryline fut une martyre de ce temple du veau d’or où s’accouplent la prosternation communautariste et la destruction sans voiles de tout ce qui n’y appartient pas. Un communautarisme basé sur la violence et le sacrifice des autres, pour le profit d’une nuée de parasites les uns les autres obviant le réel pour cristalliser le virtuel afin de mieux effacer le témoignage constant de leurs destructions impassibles, actrices et acteurs consommés comme de vulgaires friandises, chairs à canon de cette ignominie sans fin qui ne reconnaît la valeur non pas dans la prouesse du caractère, non pas dans la prouesse créative, non pas dans la prouesse de l’intelligence, mais dans la seule prouesse sexuelle, l’Etre se résumant ainsi à un sexe et en aucun cas à un Etre Humain. On pourra développer ainsi pendant des milliers de pages sur l’agonie vivante que fut Maryline Monroe sur l’autel de la dépravation où elle fut conviée, choyée, pour le seul reflet de l’or qu’elle rapportait, jusqu’à sa mort advenue, presque initiée, presque programmée par la laideur qui ne recherchait en elle que sa destruction, tant la beauté est fatale à la monstruosité. Maryline est partie, son image a disparu pour ne laisser place qu’à cette beauté qui transcendée par l’Amour aurait pu accomplir sa régénérescence, mais l’Amour en ce lieu où elle fut n’existait pas, il n’était que vaste fumisterie d'empreinte que même un adolescent censé n’oserait pas initier, si ses convictions Humaines ne sont pas létales comme l’étaient celles qui régnaient sur ce temple de la destruction que fut Hollywood en ce temps-là. Que l’on ne se trompe, le ver est toujours dans le fruit et continu à sévir comme jamais il n’a sévi dans tous les domaines du Cinéma, de la Télévision, de la culture, dictature contre laquelle ne s’élèvent que peux de voix, tant l’ignorance des faits et les prébendes monétaires ou sexuelles éconduisent la volition au silence. Maryline n’est plus là, mais son nom est toujours présent, symbole d’une abnégation qu’il faut éconduire, ce massacre des innocents qui servent à faire tintinnabuler des deniers dans les poches des maquereaux de l’Art, qui n’ont d’autres buts que d’asservir et détruire pour le seul petit plaisir régalien de leur atrophie à être. Victime expiatoire, Maryline, symbole de la beauté Occidentale ne pouvait que disparaître aux yeux de la bestialité par la bestialité afin de convaincre les éblouis de la lâcheté du peu de cas que l’on peut faire de la personne Humaine, surtout en son genre et son Identité. Que l’on ne se trompe il n’y a pas d’aveugles ce jour, et l’avilissement de Maryline par ceux et celles qui l’ont détruit apparaît désormais dans sa plénitude. Son martyre n’aura pas été vain, elle aura prévenu les générations futures de l’ineptie et de l’outrecuidance des castes dévoyées qui s’arrogent un droit qu’ils ne possèdent pas, celui de la création, un droit qu’ils possèdent, celui de la destruction, et l’on ne peut être aujourd’hui qu’heureux de voir toute une jeunesse se déployer en dehors des aires sordides afin de faire valoir leur imagination, leur créativité, qui ne pourra jamais leur être volée, et encore moins dégradées par la bassesse des inaptes à la création. Merci Maryline d’avoir ouvert les yeux à toutes ces générations qui illuminent de leurs feux, en dehors des pourrissoirs institutionnalisés la grandeur du Cinéma, de la Photographie, de l’Art en général, de ces cultures, qui n’existent plus dans le carcan des aberrations qui se veulent monarques du droit de s’exprimer, unités économiques de l’abêtissement et de la servilité, de l’ignorance et de l’acculturation. Que ton Ame repose en Paix dans cette éternité d’où ta beauté d’Etre Humain à qui l’on n’a jamais laissé la parole, s’exprime aujourd’hui pour nous conter que vanité et atrophie ne sont que les refrains du sordide comme du mercantile qu’il faut outrepasser afin d’initier sa créativité. Merci Maryline.




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Vincent Thierry
France
31/12/2009



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